Passioner par le paysage depuis mes 12 ans, j'ai effectuer un BTS en aménagement du paysage pendant deux ans. ces études mon permis d'appréhender le coté technique du paysage, que se soit sur les chantiers ainsi que les documents de construction techniques et devis. J'ai par la suite intégré l'ESAJ (Ecole supérieur d'architecture des jardins et des paysages) à Paris, dont j'ai passé le diplôme en 2014, avant d'intégré la maitrise en architecture du paysage à l'université de Montréal.
Durant mes études, j'ai eu l'occasion de pratiquée de nombreux stages que se soit sur les chantier et dans des bureaux de design, en région parisienne, Cannoise, mais également en Allemagne à Oberhausen dans le bureau PGO (Planergruppe Oberhausen).
Dans un contexte de réchauffement climatique et de réduction de nos ressources non renouvelables, il est nécessaire de penser la ville et nos déplacements autrement. La ville de l’après-pétrole est la ville de la courte distance, qui est favorable aux modes de locomotions de proximité en lien à des modes de transports massifié pour les plus longues distances dans une ville apaisée et sociale. Dans ce contexte de prospective, comment utiliser le paysage et l’expérience qu’elle engendre lors de nos déplacements afin d’encourager dès aujourd’hui l’utilisation des transports en communs et actif dans une métropole tel que Montréal ?
Pour limiter les déplacements, une production alimentaire locale, peut répondre aux besoins des villes en utilisant les espaces disponibles laisser par la voiture. Elle vas en plus rendre lisibles les différentes séquences, importantes lors des déplacements pour se situer dans un territoire, tout en dynamisant, socialement, économiquement et au niveau paysager les milieux traverser.
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