Exposition
des finissants
de la Faculté de
l'aménagement

Urbanisme

Marie-Philippe Bergeron

Suite à mes études collégiales en architecture, j’ai découvert que j'avais un intérêt particulier quant à vouloir rafraichir des bâtiments qui se dégradaient. Je les observais toujours du bon angle et je créais divers scénarios dans lesquels je les remettais en état, et ce, tout en gardant leurs caractéristiques architecturales initiales. C'est donc dans l’optique de percevoir autrement la ville et de la découvrir de manière plus approfondie que l’urbanisme a attiré mon attention. Cela dit, j’ai découvert un métier qui répond à l'une de mes valeurs principales, soit celle qui me permet de participer à l’amélioration du monde d’aujourd’hui. J’ai désormais l’opportunité de pouvoir mettre en application mes compétences et mon imagination en raffinant le cadre de vie des gens. Bref, ce qui est passionnant avec ce métier est que je contribue à protéger une partie de la terre qui est grandement importante pour moi, l’environnement.

L’agriculture à Mirabel, un enjeu continuellement méprisé.

Dans un contexte où le monde est de plus en plus sensibilisé aux enjeux auxquels est confronté l’environnement, il est important de réfléchir à ceux qui touchent les territoires agricoles. Dans l’optique de démontrer que l’agriculture est continuellement méprisée par la pression de l’urbanisation, je vous présenterai le cas la MRC de Mirabel sur lequel je me baserai pour vous présenter les problématiques. Essentiellement affectée en zone agricole, la municipalité de Mirabel est considérée comme l’un des plus grands territoires municipaux du Québec. On remarque que la société d’aujourd’hui continue de gruger les terres agricoles de Mirabel, et ce, depuis longtemps, puisqu’en 1969, le Gouvernement fédéral avait déjà entamé l’expropriation d’une immense superficie de terres fertiles pour construire l’aéroport de Mirabel. Afin de protéger les territoires agricoles de Mirabel ainsi que de diminuer les pressions immobilières, je propose de revenir aux Horizons 2000. C’est-à-dire que dorénavant, on saute par-dessus les terres agricoles et on s’installe sur les villes satellites.

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